Outré d’apprendre que le moudjahid El Hadi Radjeb n’avait pas la nationalité algérienne, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a signé un décret lui accordant la nationalité, lui redonnant ses droits.
Honte à ceux qui ont bloqué l’octroi de la nationalité algérienne au défunt Moudjahid El Hadi Radjeb.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, s’est indigné en apprenant que le moudjahid El Hadi Radjeb n’avait pas la nationalité algérienne.
Personne dans notre belle et grande Algérie ne croirait un seul instant que la bureaucratie algérienne a bloqué, pendant des années, l’octroi de la nationalité algérienne au défunt moudjahid El Hadi Radjeb.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, indigné et attristé d’apprendre cette situation grave et honteuse vécue par un authentique moudjahid qui, à l’âge de 14 ans, avait rejoint la troupe mythique du FLN (Front de libération nationale), a immédiatement ordonné de rétablir les droits du défunt El Hadi Radjeb.
C’est la famille du moudjahid décédé, par l’intermédiaire de sa veuve, qui a informé le président de la République que le mari décédé avait frappé à toutes les portes pour obtenir sa nationalité, mais en vain, la machine bureaucratique écrasante était « très puissante ».
« Je ne demande qu’une chose : la nationalité de mon défunt mari », a insisté la veuve du moudjahid. Une fois la volonté de la famille et du défunt accomplie, le président de la République a signé le décret accordant la nationalité au moudjahid El Hadi Radjeb, remis le jeudi 2 février 2023 à la famille du défunt.
Chacun comprendra désormais la guerre menée par le président de la République contre cette bureaucratie qui rend la vie dure à la République.
« La bureaucratie est le plus grand danger qui menace le pays », a observé le président Tebboune lors d’une de ses rencontres avec la presse. Il n’avait pas tort, car cette bureaucratie menace même notre riche et grande histoire.