L’objectif est d’identifier les déficits d’amélioration des données en fonction des priorités nationales, au démarrage des travaux, Guillaume Husson pour le compte de l’Unesco, Hilaire Hounkpodoté coordinateur du Pasec et représentant national de la Conférence des Ministres de l’Education Nationale (Confemen) ont tous salué la collaboration fructueuse entre les deux institutions dans une dynamique d’efforts soutenus pour améliorer la qualité de l’enseignement.
Du lundi 27 au mardi 28 mars 2023, l’atelier de validation de l’évaluation des manuels scolaires réunit différents acteurs du système éducatif et partenaires techniques et financiers dont l’Unesco, l’Afd et la Confemen. « Des manuels de qualité pour mieux apprendre ». C’est le leitmotiv de cet atelier de validation de l’évaluation des manuels scolaires.
L’objectif est d’identifier les déficits d’amélioration des données en fonction des priorités nationales, au démarrage des travaux, Guillaume Husson pour le compte de l’Unesco, Hilaire Hounkpodoté coordinateur du Pasec et représentant national de la Conférence des Ministres de l’Education Nationale (Confemen) ont tous salué la collaboration fructueuse entre les deux institutions dans une dynamique d’efforts soutenus pour améliorer la qualité de l’enseignement. Ceci, sans oublier l’Agence française de développement (Afd), véritable bras financier.
Pour Guillaume Husson, la rareté et la qualité des manuels scolaires minent la qualité de l’éducation dans de nombreux pays et c’est là toute la pertinence de cette évaluation indépendante grâce au projet « Ressources éducatives » de l’AfD. Le Secrétaire Général Adjoint du Ministère des Ecoles Maternelles et Primaires a insisté sur l’importance de cette évaluation indépendante de la qualité des manuels scolaires du primaire (maths et français) et du 1er cycle du secondaire (maths, français et sciences) lancée officiellement au Bénin le 11 novembre 2021 conformément à la phase pilote de mise en œuvre du projet dans six pays, à savoir : le Bénin, le Burundi, Madagascar, le Niger, le Sénégal et le Togo. « Le but de cette évaluation était de vérifier si les manuels homologués dans ces pays étaient conçus de manière à prendre en compte, d’une part, les standards identifiés par la recherche et, d’autre part, les attentes des systèmes scolaires des pays participants afin d’éclairer les décideurs politiques sur les éventuelles lacunes ou lacunes, les ressources à développer ou à améliorer, et les processus de conception et d’évaluation des manuels scolaires », a-t-il déclaré.
Cette démarche a permis aux différents acteurs des ordres scolaires concernés de mieux appréhender le contenu des manuels scolaires pour informer, à leur tour, les responsables tant du primaire que du secondaire. C’est une politique qui permettra aux étudiants non seulement d’être mieux équipés, mais aussi de s’adapter à des programmes d’études adaptés.