Lolo Beauté n’a pas encore quitté l’auberge. Dans son affaire d’épilation où il a laissé tomber la serviette pour dévoiler ses parties intimes, le procureur, Adou Richard, qui était présent au CESEC vendredi 17 mars, a annoncé l’ouverture d’une enquête contre l’influenceur.
Lolo Beauté a rapidement été sous le feu d’une enquête du procureur Adou Richard
Lolo Beauté, la sœur cadette de Camille Makosso, avait choqué la sensibilité des internautes en dévoilant ses parties intimes lors d’une séance d’épilation.
Plusieurs voix se sont élevées pour condamner fermement l’attitude de l’influenceur ivoirien.
Parmi eux, il y avait la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HACA), qui a pris des mesures vigoureuses à l’encontre du chouchou de Tiesco, le Sultan, notamment le retrait de la vidéo incriminée et la restriction de son compte sur le réseau social, sans monétisation pendant une durée de trente ans. jours.
Mais les ennuis ne sont pas finis pour Lolo Beauté. Le procureur de la République de Côte d’Ivoire, Adou Christophe Richard, s’est également mêlé de l’affaire.
Grâce à une confrontation qui a eu lieu vendredi 17 mars au Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC), avec la chambre consultative sur la question de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux, le haut magistrat a annoncé l’ouverture d’une information judiciaire contre la petite soeur du révérend pasteur Camille Makosso.
»C’est inadmissible. Il ne faut absolument pas permettre que cela se produise, c’est impossible. Ce n’est pas possible, c’est dommage, on ne peut pas continuer à laisser faire les choses », a-t-il répondu.
Avec les conseillers, Adou Richard a déclaré qu’avec ses équipes ils pourront « rendre Internet plus digeste. Il y a beaucoup de choses que vous pouvez faire (sur Internet).
Et que des mesures « pour arrêter de lâcher prise » seront bientôt annoncées.
Malika Victoria