Mireille Guei, la fille du défunt général Robert Gueï, une histoire avec Albert Mabri Toikeusse, le président de l’UDPCI (Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire). L’ex-ministre des Affaires étrangères a joué un rôle dans son entrée en politique.
Côte d’Ivoire : Commentez Mabri a conduit la fille de Robert Gueï en politique
Neuf ans après assassinat de son pour Robert Gueï, Mireille Gueï a choisi de s’éloigner de la Côte d’Ivoire et de la politique. Le faut rappeler que le fondateur de l’UDPCI a été tué dans les premières heures de la rébellion ivoirienne du 19 septembre 2022 tout comme son épouse Rose Doudou.
Devant cette tragédie, sa fille Mireille s’est envolée pour la France, loin de son pays. « J’avais gardé un très mauvais souvenir de la politique après assassinat de mon père, je m’en suis toujours tenue à distance », intitulée Mireille Gueï au magazine Jeune Afrique.
Quoi qu’il en soit, pour Albert Mabri Toikeusse, il n’est pas question que la fille du fondateur de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire demeure loin de la politique. L’ex-ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique d’Alassane Ouattara décide du convaincre de s’engager dans la politique.
Selon Jeune Afrique, les tentatives de Mabri Toikeusse s’avèrent fructueuses. En effet, Mireille Gueï franchit le pas et se porte candidate aux élections législatives de mars 2021 dans l’est de la Côte d’Ivoire. Elle est élue députée de Biankouma. D’ailleurs, l’ancienne assistante de direction révèle qu’elle a appris la politique auprès de l’actuel président de l’UDPCI.