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dans toutes les localités du Sénégal, il est nécessaire d’investir massivement les routes les 14 et 15 mars… ». ( Par Seybani SOUGOU )

Le régime de Macky Sall est aux abois, sombrant dans une folie totalitaire qui conduit le Sénégal au bord du gouffre. Les dernières digues de l’Etat de droit se sont littéralement effondrées comme un château de cartes, plongeant la démocratie sénégalaise au fond de l’abîme, suspendant le pays aux caprices d’un pauvre parvenu (arrivé par la force des choses à la tête de la magistrature suprême), irresponsable, paranoïaque et mégalomane qui ne fixe plus de limites à sa soif de pouvoir.

Pour énumérer tous les crimes politiques et économiques commis par Macky SALL, et toutes les déviations et crimes de son régime, corrompu jusqu’à la moelle, un livre de 10 volumes ne suffirait pas. Face à un individu aussi sinistre qui confond le Sénégal à sa propriété personnelle et qui pense avoir le pouvoir de vie et de mort sur chaque Sénégalais, il n’y a qu’une seule loi qui s’applique : la loi du talion.
La résistance à l’oppression a une valeur juridique incontestable, consacrée par les textes. Les articles 2 et 16 de la Déclaration des droits de l’homme de 1789 visent à passer de « l’affranchissement de l’autorité » à « la liberté d’être libre ». à « l’autorité garante de la liberté ».. La Déclaration des droits de l’homme, contenue dans le préambule de la Constitution sénégalaise, fait de la résistance à l’arbitraire un devoir pour tout citoyen sénégalais. La formule est connue : « Lorsque le Gouvernement viole les droits du peuple, la résistance est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. ».

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Le temps des déclarations (Macky Sall viole la Constitution, etc.) est révolu. L’heure n’est plus aux discours, à la diplomatie (on ne discute pas avec un être irrationnel dépourvu de bon sens) ou à la procrastination. Toutes les composantes de la société (intellectuels, enseignants, étudiants, jeunes, employés de bureau, demandeurs d’emploi, paysans, personnes ayant perdu leurs moyens de subsistance, organisations de la société civile, etc.) doivent émerger de toutes les régions du pays, descendre massivement dans la rue, opposer une résistance morale à l’arbitraire et être prêts à payer le prix de la liberté pour sauver les acquis de la démocratie sénégalaise.

Le peuple sénégalais, où qu’il soit, doit se mobiliser pour abattre définitivement le MONSTRE.

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Ni l’armée, ni la police, ni la gendarmerie ne pourront le sauver d’un bain de sang si HUMAN DEFERENCE s’empare de la rue.
Que l’on ne nous propose pas des théories telles que « JAAM MO GUEN, etc….. ».Macky se moque de la paix et de la stabilité au Sénégal (pour lui, la seule chose qui compte, c’est le maintien au pouvoir).

Les 14 et 15 mars 2023 doivent être le moment de reconquérir les droits inaliénables du peuple, les libertés individuelles et collectives des sénégalais, bafouées et… pillées ». par un régime mafieux.

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La confrontation entre Macky Sall et le peuple est inévitable : c’est lui ou nous.

Seybani SOUGOU

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