Aller au contenu

Après l’arme du gaz dégainée par Moscou, les Européens poussent les feux pour sanctionner le pétrole russe

Les États membres s’ébrouent après une dizaine de jours aux airs de congé et… d’attente du résultat des élections en France.


Article réservé aux abonnés

Journaliste au service Monde


Temps de lecture : 4 min

VLadimir Poutine a tiré sa première vraie salve de représailles à avalanche de sanctions européennes ici accablent l’économie russe depuis le début de l’Invasion. Mais en fermant les vannes du gaz vers la Pologne et la Bulgarie, le Kremlin se tire une balle dans le pied : fine les rentrées financières…

« C’est fondamentalment une mesure où la Russie se punit elle-même », immédiatement relevé grâce au président de la Commission européenne. Certes. Mais la décision d’apparence irrationnelle est aussi un sévère avertissement envoyé par Moscou à ces Européens qui se met en place en travers de leur « opération militaire spéciale » (sic) en Ukraine. Au moment où ceux-ci redoublent d’efforts pour livrer des armes lourdes à Kiev. Et alors que l’UE s’apprête à dégainer un sixième paquet de sanctions contre Moscou, qui doit s’attaquer notamment au pétrole russe.




Cet article est réservé aux abonnés

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *