Les restrictions se multiplient à l’égard des voyageurs en provenance de Chine. Après l’Italie et l’Espagne, la France s’est imposée à son tour des épreuves. La Suède, qui exerce ici la présidence tournante de l’UE, se cherche « une politique commune ».

Par Véronique Lamquin
LEl ne figurait pas parmi les priorités affichées par la Suède pour la présidence tournante de l’UE, qu’elle assume au premier semestre 2023 le Covid s’est imposé à l’agenda dès les premières heures. Et, avec lui, sa cohorte de déjà-vu : des capitales qui ont subi en ordre dispersé, une coordination européenne à la traîne, des experts divisés… La faute à la Chine, qui a annoncé la fin de sa stratégie zéro Covid. Synonyme de reprise des voyages depuis et vers son territoire dès le 8 janvier… et de méfiance accrue du reste du monde, nourrie par le manque de transparence des autorités chinoises quant à la situation épidémiologique sur leur territoire. Le gouvernement suédois a annoncé samedi « être à la recherche d’une politique commune pour l’intégralité de l’UE s’agissant de l’introduction possible de restrictions d’entrée ».
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