La présidence française du Conseil de l’UE est lancée et Paris compte sur Berlin pour remplir ses priorités. L’Allemagne, sous Olaf Scholz, promet d’être plus proactive.

par Elodie Lamer
LLes historiens l’appellent le mariage de la raison qui a donné naissance à l’Union européenne. Mais alors même que la construction est passée de six à vingt-sept pays, le duo franco-allemand continue d’être perçu comme le moteur de ce bâtiment. Charles Michel, président du Conseil européen, a pu l’observer en première ligne sur le budget européen puis la reprise : si la France ou l’Allemagne ne sont pas de la partie, ne sifflons pas le départ. Mais d’autres pays ont de plus en plus de mal à tracer le chemin et Emmanuel Macron, le président français, l’a appris à ses dépens. C’est donc à partir de cette expérience que la France a assumé la présidence du Conseil de l’UE le 1er janvier, en pleine campagne présidentielle nationale.
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